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Café 750

Bonjour à tous.tes,

Cela fait un petit moment que je ne vous avais pas écrit. C’est à dire que j’ai été bien occupée et surtout que j’ai attrapé par deux fois la fameuse grippe de cet hiver. Et bien me revoilà, et aujourd’hui, je souhaite vous partager une de mes adresses café, ou plutôt goûter de Bordeaux. Ce café est caché au bout du cours Alsace-Lorraine, sur la trajectoire du tram A et au croisement du Quai Richelieu. Appelé Café 750 mais aussi café coréen, ce petit endroit se présente à nous par une façade fleurie et une enseigne néon. L’étroite entrée donne sur la cuisine de la gérante et sur plusieurs vitrines de cakes style coréen chacun plus appétissant les uns que les autres. Vous pouvez ainsi goûter des parts d’une très grande variété de gâteaux ou même commander pour des évènements des créations plus volumineuses. Ces gâteaux sont honnêtement splendides. Vous voyez ces désserts impressionnants sur instagram, avec des glaçages et des écritures artistiques, et bien, c’est encore plus beau.

La carte propose des boissons chaudes : café, thé… mais aussi de nombreuses patisseries en dehors des cakes style coréen, tel du cheesecake façon basque. Personnellement, j’ai goûté les fameuses parts de gâteaux. Comme vous pouvez le voir sur la photo ci-dessous, ces géantes parts sont copieuses, et pourtant en rien écoeurantes. La génoise à la vanille est très légère et sépare les différentes couches de crème. La dernière fois que j’y suis allée, j’ai goûté celui aux oreo. Regardez ces morceaux d’oreo mêlés à la crème, n’est-ce pas appétissant? Le mélange crème et génoise est parfaitement équilibré et le résultat n’est pas trop sucré. Finalement, cette collation comble votre faim (ou votre gourmandise) sans vous laisser la sensation d’avoir trop mangé. Idéal pour le goûter. En plus de leur goût, voyez leur apparence! C’est tout simplement trop beau. Disons plutôt charmant, car ces gâteaux sont élégants. La chantilly parsemée de feuilles d’or vient délicatement décorer  le tout.

Le temps de cette pause douceur, vous êtes installé dans une petite salle à l’étage à laquelle vous accédez par un escalier incroyablement pentu. Le lieu est intime et cosy. Vous pouvez profiter de ce cocon avec un.e ami.e ou bien vous installer lire un livre par exemple, tranquillement en dégustant votre gâteau. Une ambiance cocooning et réconfortante, une petit bulle dans le brouhaha de Bordeaux.

Et voilà, une nouvelle recommandation toute mignonne, à bientôt et bon appétit!

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Wicked, Jon Chu

2025! Bonne année à toustes.
Pour commencer janvier, je vous propose un article sur une de mes comédies musicales préférées : Wicked. L’adaptation cinématographique de la célèbre comédie musicale de Broadway et du roman Wicked : La Véritable Histoire de la méchante sorcière de l’Ouest (Wicked : The Life and Times of the Wicked Witch of the West) de Gregory Maguire paru en 1995 (sur lequel est basée la comédie musicale) est sortie en France début décembre, et je ne pouvais pas ne pas en parler. Si le film est un phénomène outre-Atlantique, il a un succès plus timide en France. Mais je suis sûre que je ne suis pas la seule française fan de Broadway et qui était impatiente de découvrir cette adaptation portée par Cynthia Erivo et Ariana Grande (dont on notera la force de chanter en direct lors du tournage). Je pense aussi ne pas être la seule à avoir été charmée par ce film, et je suis contente que cette adaptation ait pu faire découvrir cette oeuvre à de nouvelles personnes. J’ai eu la chance cet été de pouvoir assister à une représentation de la comédie musicale au West End de Londres (le Broadway londonien). J’ai été émerveillée, les décors, les costumes, les comédien.ne.s qui chantent à la perfection, c’était magnifique et spectaculaire. Donc, vous l’aurez compris je suis fan.

© Universal Pictures

Passons maintenant au film. J’avais peur d’être déçue comme cela arrive quelquefois avec les adaptations cinématographiques, mais je suis très contente du résultat (je l’ai même vu deux fois). L’histoire est celle d’Elphaba et de Glinda, aussi connues comme étant la méchante sorcière de l’Ouest et la bonne sorcière (du Nord ou du Sud selon les versions) de l’univers du Magicien d’Oz. Beaucoup connaissent le film de 1939, avec la jeune Judy Garland, qui fut une première adaptation du livre de Lyman Frank Baum, The Wonderful Wizard of Oz, datant de 1900. Dans cet univers, évoluent différents personnages du pays d’Oz où règne le fameux magicien d’Oz qui peut exaucer ton voeu le plus cher. L’héroïne de Wicked, Elphaba, est née verte, le monde autour d’elle la rejette, pourtant elle cache au fond d’elle une puissance inconnue. Wicked est principalement le récit de l’amitié qu’elle va forger avec Glinda, sa colocataire à l’université. Elphaba rêve de pouvoir rencontrer le magicien et d’être enfin reconnue par ses pairs. Glinda (ou Galinda au début) est une jeune femme ambitieuse et populaire qui espère devenir sorceresse. Dans un premier temps, elles se détestent, elles sont même rivales. Elles vont devenir meilleures amies et faire ressortir ce qu’il y a de meilleur en chacune d’elles. La force du film est de peindre une relation authentique et pure entre ces deux amies. Ce sont des personnages forts, avec des valeurs et porteurs d’espoir. Elphaba est en quête de justice, elle est déterminée et honnête, c’est un personnage sensible qui prend son envol. Sa relation avec Glinda est précieuse car elle lui permet de découvrir la bienveillance et le soutien qui lui a manqué toute sa vie. Cependant, plusieurs drames menacent Oz et leur parcours est bafoué par la désillusion. Je ne raconterai pas tout le film pour vous laisser le plaisir de le découvrir. Je vous dirai néanmoins que cette première partie (la seconde sortira le 26 novembre 2025) se termine par la grande chanson Defying Gravity, qui annonce l’émancipation d’Elphaba. Cette chanson nous incite à prendre conscience de notre propre force intérieure. C’est aussi un moment de bascule dans la relation d’Elphaba et Glinda, et pour moi, l’un des passages les plus émouvants puisqu’il est marqué par le caractère éphémère de leurs espérances.

© Universal Pictures

Si vous n’êtes toujours pas convaincu d’aller voir ce film, je vous parlerai de la qualité des décors, des costumes et de l’attention portée aux détails. Les décors sont majoritairement réels et construits de toute pièce pour recréer l’univers de Lyman Frank Baum. Des millions de tulipes ont été plantées pour réaliser la terre des Munchkins (habitant.e.s de Munchkinland dans le pays d’Oz), et l’Université Shiz ainsi qu’Emerald City sont inspirées de l’Exposition universelle de Chicago en 1893 (je vous renvoie à cet article de ELLE qui revient en détail sur les décors du film). Les costumes sont réfléchis afin de donner une identité propre au film par rapport à la version sur scène. Enfin, le film est parsemé d’Easter eggs pour les fans du Magicien d’Oz, de la comédie musicale et de sa version originale de Broadway.

© Universal Pictures

Je ne pourrais pas parler de cette comédie musicale et de ce film sans évoquer l’aspect queer de cette oeuvre. Que ce soit le thème du rejet et de la quête identitaire (qui fait bien évidemment aussi référence au racisme) ou l’esthétique camp (néanmoins modérée et qui reste mainstream), le film peut être vu sous un tout autre prisme pour la communauté LGBTQIA+. Tout particulièrement, la relation d’Elphaba et Glinda qui est pour beaucoup de personnes crypto-gay (cf la chanson What Is This Feeling?). Les actrices n’ont pas démenti cela, Ariana Grande a même dit que Glinda pouvait « être dans le placard » (in the closet), c’est à dire qu’elle n’aurait pas encore fait son coming-out. Les deux actrices affirmaient qu’il est surtout question d’amour entre ces deux personnages, qu’il soit platonique ou plus, tout simplement.

Wicked est encore au cinéma, et quant à la comédie musicale, elle est jouée depuis 2003 à Broadway et 2006 à l’Apollo Victoria Theatre du West End. Prenez donc votre envol pour un frisson de magie et rendez-vous en salle!

Wicked, Jon Chu (160 minutes)
Sortie le 4 décembre 2024

Pour la bande originale c’est par ici 💚🩷

Et voici une photo du décor de la comédie musicale à l’Apollo Victoria Theatre à Londres.

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Egg Nog

Hello,

Il fait froid, très froid. De plus, Noël approche. J’ai donc profité de cette occasion pour ressortir de mes livres de cuisine quelques recettes de fêtes. Je vous partage aujourd’hui celle du lait de poule (ou egg nog en anglais). Très célèbre dans les films de Noël anglo-saxons, cette boisson à base de lait, d’oeuf et d’alcool est un classique de la saison hivernale (l’hiver c’est demain, soit le 21 décembre, mais prétendons un instant qu’on soit en plein hiver). Donc, j’ai tenté cette recette pour la faire découvrir à ma famille. Au premier abord, ce mélange peut paraître étrange, voire écoeurant pour certain.es, mais que nenni! Ce breuvage est particulièrement doux, et étonnamment réconfortant. J’aime le déguster tiède dès qu’il est prêt, même s’il se consomme aussi froid. Dans la recette que j’ai testée, qui provient du livre de cuisine britannique God save the cook, Recettes so British!, de Julie Schwob, on retrouve du whisky contrairement à la majorité de celles que j’ai pu trouver sur internet qui proposent du rhum. J’ai particulièrement aimé cette touche d’alcool, qui plus est de whisky qui relève légèrement le mélange sucré et donne un goût chaleureux à cette boisson.

Voici donc la recette toute droit sortie du livre et quelques images du résultat!

*les amandes n’ont rien à faire sur cette photo, c’est pour une autre recette

Pour 4 personnes

4 oeufs bien frais (c’est important qu’ils soient bien frais car la préparation est crue et seulement réchauffée par le lait chaud)

1/2 cuillerée à café d’extrait de vanille liquide (personnellement j’ai fait à l’oeil, vous dosez selon le goût vanillé que vous souhaitez)

1 cuillerée à café de muscade en poudre

5 cl de whisky (j’en ai mis un peu plus pour qu’il soit plus relevé, environ 7cl est très bien pour que cela ne soit pas trop fort non plus)

1 litre de lait

15 cl de lait concentré (j’ai pris du lait concentré en conserve, donc idem j’ai fait à l’oeil, tout dépend de comment vous voulez que la boisson soit sucrée)

· Faites chauffer le lait dans une casserole jusqu’à ébullition.

Je vous conseille de rester concentré.e sur cette première tâche comme le dit la recette. Car j’ai testé de faire le reste en même temps, or le lait qui bout ça déborde de la casserole et bien sûr c’est ce qui est arrivé… ce n’est pas génial ni pour le ménage, ni pour la casserole.

· Séparez les blancs d’oeufs des jaunes. Dans un saladier, battez les jaunes en omelette jusqu’à ce qu’ils deviennent très mousseux (J’ai fini de les battre au batteur électrique parce que cela prend du temps, de la force, et que la fainéantise est plus forte que moi). Ajoutez progressivement le lait concentré froid, puis le lait chaud, l’extrait de vanille et enfin le whisky.

· Montez les blancs d’oeufs en neige molle. Incorporez-les petit à petit au lait.

· Versez le lait de poule dans de grands verres. Saupoudrez d’un peu de muscade et servez.

Et voilà!
Bonne dégustation et bonnes fêtes! 🎄

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Les Reines du drame, Alexis Langlois

Nostalgique des années 2000? Des divas pop à la Britney Spears? Et bien, plongez-vous dans la romance fulgurante de Mimi Madamour (Louiza Aura) et Billie Kohler (Gio Ventura) dans Les Reines du drame, le dernier film d’Alexis Langlois. Avec sa comédie musicale délurée, elle propose aux spectateur.ices une aventure palpitante et une histoire d’amour flamboyante.

© BAC FILMS

Tout débute avec la jeune star montante Mimi Madamour, icône pop et candidate de Starlettes en herbe (hommage à la Nouvelle Star et à la Star’ac) et sa rencontre avec l’artiste punk Billie Kohler. C’est le coup de foudre et de leur union naîtront des compositions musicales hautes en couleur, à retrouver dans la bande originale du film, avec des musiques de Pierre Desprats et des chansons originales de Yelle ou encore Rebeka Warrior. À travers cette histoire des temps 2000, et qui s’étend sur une cinquantaine d’année, Alexis Langlois met en lumière les figures délaissées de notre jeunesse. Elle expliquait que le film est marqué de « l’envie de célébrer toutes les personnes has-been et les ringardes¹ ». Ces starlettes oubliées et démodées sont remises sur le devant de la scène à travers l’univers éclatant de la réalisatrice. Ainsi, l’idée de ringard est traitée de façon prononcée. Les physiques sont déformés par la chirurgie esthétique et ce qui pourrait paraître de mauvais goût ou superficiel est célébré. Les artifices sont utilisés pour mettre en exergue les émotions des personnages. Le film est aussi teinté d’une forme d’humour empreinte de compassion et d’une idée ultra pop de jouer avec des images passées et actuelles. Dans cette intention de remonter le temps, le montage propose lui aussi un retour en arrière avec l’utilisation du fondu enchaîné qui convoque ainsi les codes d’une culture populaire des années 2000 (émissions de télé-crohets, clips) et ceux d’un cinéma classique.

© BAC FILMS

Signé d’une esthétique camp, c’est un film queer réalisé par des personnes queer. L’idée de communauté est très importante, elle traverse le film. C’est aussi une culture qui imprègne les films d’Alexis Langlois depuis ses débuts, elle explique : « Ce qui m’a libérée c’est quand j’ai commencé à sortir, à laisser vivre mon identité queer et à rencontrer d’autres personnes queer. C’est comme, si j’avais une deuxième formation, une fac alternative dans les clubs où les personnes queer me transmettaient leur culture que je n’avais pas² ». La réalisatrice racontait aussi vouloir avec ce film « donner des grands récits à des personnes queer, du romanesque³ », et ainsi rompre avec une idée que les récits queer s’apitoient. Ici, la réalisatrice parle de passion, d’une histoire d’amour qui traverse les âges, marquée de péripéties. Ce récit est conté par une figure des plus atypiques, Steevyshady, youtubeur et premier admirateur de Mimi Madamour. Ce conteur des temps modernes, pulpé de Botox et présenté via sa chaîne YouTube, s’illustre tel un fil rouge dans la narration. Son rôle aussi important que les passeurs d’histoires de tout temps est un marqueur temporel et un lien vers les décennies qui défilent et la descente aux enfers de nos personnages. Il s’agit d’une dualité entre Mimi et Billie, de mondes contraires. Le film joue sur cet esprit de fracture, de deux opposés, qui s’attirent et se repoussent. Ces univers nourrissent l’imaginaire pop et punk du film. Chacun.e représente une figure des genres qui s’unit en chanson pour un moment final puissant. Les Reines du drame peint une fresque musicale chatoyante et joyeuse, de la pop, du drame, de l’énergie et du spectaculaire.

1. cf. Dossier de presse
2. Ibid.
3. Ibid.

Les Reines du drame, Alexis Langlois (115 minutes)
Sortie le 27 novembre 2024

Et pour la bande originale c’est par ici <3

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Arbol

Découverte bordelaise #1
« From Mexico with love »

Bonjour à tous.te.s !

Voici mon premier article sur ce blog… et il sera dédié aux tacos!
Cette semaine, j’ai mangé chez Arbol. Ce restaurant mexicain, en plein centre de Bordeaux, est une petite bulle acidulée qui régalera vos papilles. C’est la seconde fois que je m’y rends et je suis encore plus enthousiaste que la première fois.
Le lieu est un petit restaurant, situé Rue de la Merci, à côté de l’Osteria Palatino. Il y a peu de place à l’intérieur comme à l’extérieur, mais il est possible de prendre à emporter (ce que j’ai fait). La décoration est colorée et pétillante, mariant du jaune, du rose, du bleu et une grande enseigne néon. Au menu, plusieurs spécialités tels des burritos, des tacos ou des bowls, avec comme vous pouvez le voir sur la carte plus bas, des compositions variables. 

Pour les burritos (9,9 €, 12,5 € avec une boisson), vous pouvez choisir entre 6 recettes (trois de viande, trois végétariennes) qui viennent compléter la tortilla de blé garnie de riz, de mesclun (laitue/chou rouge) et d’une salsa (elle aussi au choix).

Personnellement, j’ai opté (les deux fois) pour des tacos. Servies par trois (pour celleux avec un bon appétit, je recommande un extra taco pour 3 €), ces petites galettes de blé ou de maïs sont un délice! Elles se composent de pickles d’oignons, de queso fresco, de mesclun (laitue/chou rouge), d’une salsa et d’une garniture au choix parmi ces quatre options : pollo (poulet), barbacoa (bœuf), carnitas (porc), et veggie (haricots noirs). Les viandes marinées sont fondantes et relevées par la fraicheur des autres ingrédients. Pour ma part, j’aime rajouter un extra jalapeños à 1,5 € pour plus de saveur (et puis qui n’aime pas les jalapeños?). Accompagnés par un filet de jus de citron, les aliments épicés se parent d’une touche acidulée. Un adjectif que l’on pourrait aussi utiliser pour le visuel de ce plat : ces petites galettes sont parsemées de pointes colorées, rehaussées par le vert de la coriandre et le rose des pickles d’oignons. Le résultat est très alléchant, même si ma photo ne lui rend pas justice. Chaque élément est parfaitement équilibré et crée un plat goûteux. Pour la sauce, il en existe trois : la rouge, la verte et la arbol. J’ai goûté la verte lors de ma première escapade, elle est censée être un peu piquante, mais j’ai trouvé que cela restait largement supportable. En tant que grande amatrice de sauce piquante, j’ai testé pour mon second passage la arbol, la plus piquante. En effet, je n’ai pas été déçue, cette sauce est forte! Elle ne vient pas occulter les saveurs du taco, ce qui est un bon point, mais âmes sensibles s’abstenir…
Si les burritos ou tacos ne vous tentent pas, il vous reste les arbowls : un bowl à base de riz, légumes rôtis, haricots noirs, guacamole, queso fresco, mesclun (laitue/ chou rouge), totopos, radis, graines de courge, une salsa, et comme pour les tacos : viande au choix et possibilité végétarienne (guaca). Ce plat est néanmoins plus cher que les autres, 12,9 € et 15,5 € avec boisson.

Bien que mon goût pour les tacos a tout d’une évidence, ceux-ci sont les meilleurs que j’ai pu goûter à ce jour. Voici donc la première adresse que je recommande, une de mes trouvailles bordelaises et qui j’espère vous fera autant plaisir qu’à moi!


L’addition (pour ce que j’ai pris) : 

8,9 € (tacos x3)
+ 3 € (extra taco)
+ 1,5 € (extra jalapeños)
____________
= 13,4 € le repas

Arbol
4 Rue de la Merci, 33 000 Bordeaux
https://www.arbolrestaurant.fr/

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